Au XIXe siècle, les toreros se laissaient pousser une queue de cheval qu’ils tressaient en chignon, rappelant les perruques du XVIIIe siècle.
La queue de cheval servait également à amortir le coup en cas de chute. Au moment de prendre sa retraite, le torero coupait sa queue de cheval, une expression entrée dans le langage populaire comme synonyme d’abandon de métier.
Juan Belmonte a été le premier toréador à renoncer à la queue de cheval naturelle dans la pratique active et, depuis lors, les toreros utilisent un postiche appelé castañeta.